▌Plusieurs dizaines d'éleveurs ovins belges affiliés à la Fédération unie de groupements d'éleveurs et d'agriculteurs (FUGEA) ont manifesté mercredi d
▌Plusieurs dizaines d’éleveurs ovins belges affiliés à la Fédération unie de groupements d’éleveurs et d’agriculteurs (FUGEA) ont manifesté mercredi devant le siège du gouvernement wallon à Namur, réclamant des « actes forts » pour lutter contre l’épidémie de fièvre catarrhale ovine (FCO), aussi appelée maladie de la langue bleue, qui sévit depuis deux mois dans la moitié sud de la Belgique.
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Cette maladie virale, transmise par des moucherons piqueurs, touche principalement les ovins et entraîne des pertes économiques considérables pour les éleveurs. « Nous sommes abandonnés face à cette crise, les mesures actuelles sont insuffisantes », a déploré un manifestant.
La FUGEA demande des actions immédiates pour freiner la propagation de l’épidémie et assurer des indemnisations pour les pertes.
Le gouvernement wallon n’a pas encore répondu à ces revendications, bien qu’une rencontre avec les représentants des éleveurs soit prévue prochainement.
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La FCO, qui peut entraîner un taux de mortalité de 30% chez les ovins, ne touche pas les humains. Selon la FUGEA, plus de 2.300 foyers ont été recensés en Belgique, avec une perte financière estimée à 3,3 millions d’euros pour les éleveurs durant les mois de juillet et août.
Xinhua




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