Le Niger et le Mali témoignent leur solidarité au Burkina Faso dans la lutte contre le terrorisme

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Le Niger et le Mali témoignent leur solidarité au Burkina Faso dans la lutte contre le terrorisme

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▌Le Niger et le Mali ont exprimé leur solidarité au Burkina Faso à la suite de l'attaque terroriste du 24 août dans le Centre-Nord et les chefs d'Etat

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▌Le Niger et le Mali ont exprimé leur solidarité au Burkina Faso à la suite de l’attaque terroriste du 24 août dans le Centre-Nord et les chefs d’Etat de ces trois pays, regroupés au sein de la Confédération de l’Alliance des Etats du Sahel (AES), ont réaffirmé leur détermination à lutter contre le terrorisme, selon un communiqué de la présidence burkinabè publié lundi.

 

 

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Des émissaires du président du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie du Niger, Abdourahamane Tchiani, et de son homologue malien, Assimi Goïta, également président en exercice dela Confédération de l’AES, ont été reçus à Ouagadougou ce lundi matin par le président de la transition burkinabè, le capitaine Ibrahim Traoré.

La délégation, conduite par le ministre malien de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, Abdoulaye Maïga, et le ministre nigérien de l’Intérieur, Mohamed Toumba, a exprimé la compassion et la solidarité des chefs d’État de l’AES et de leurs peuples respectifs au Burkina Faso et à son peuple à la suite de l’attaque terroriste survenu le 24 août à Barsalogho, indique le communiqué de la présidence burkinabè.

Abdoulaye Maïga, porte-parole de la délégation, a rappelé la détermination des trois chefs d’Etat de l’AES à lutter pour l’éradication du terrorisme dans l’espace, précise le communiqué.

 

 

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Depuis l’attaque terroriste à la commune de Barsalogho dans la région du Centre-Nord du Burkina Faso, le gouvernement burkinabè, qui n’a pas communiqué sur le bilan officiel, a multiplié les actions de réconfort et d’assurance des populations de Barsalogho.

Depuis 2015, l’insécurité dans le Burkina Faso a coûté la vie à de nombreuses personnes et fait des milliers de déplacés.

 

Xinhua

 

 

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